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Flash-backs |
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Duncan MacLeod |
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1918
Première guerre mondiale, France (Le colonel)
Duncan, toujours infirmier, est dans les tranchées, portant secours aux blessés du mieux qu'il peut. Alors qu'il avance parmi les soldats, il ressent la présence d'un autre Immortel, le colonel Simon Killian, qui s'étonne que Duncan soit dans le rôle d'un soigneur et non d'un guerrier. Duncan lui répond qu'il a trop longtemps combattu. Il préfère à présent sauver des vies au lieu d'en prendre.
Un homme apporte un pli au colonel l'informant que la guerre est terminée. Killian ne veut pas en tenir compte. Il n'a qu'une idée en tête, envoyer ses hommes à l'assaut des Allemands. Duncan fait son possible pour propager la bonne nouvelle, mais les hommes ne l'écoutent pas et chargent les troupes allemandes suivant aveuglément leur supérieur et ils meurent pour la plupart.
Plus tard, Killian passe en cours martial pour avoir envoyé ses hommes à la mort alors qu'il venait de recevoir la nouvelle de la fin de la guerre. Il est condamné à être passé par les armes. Duncan, dont le témoignage fut un élément important, intervient alors et demande à la cours de faire preuve de compassion envers ce colonel qui a certainement perdu la raison. Les juges acceptent la plaidoirie de Duncan et décide de condamné Killian à la détention à perpétuité dans un asile d'aliénés.
La guerre terminée, Duncan est parti vivre en Russie où il s'est lié d'amitié avec Alexandra Abernova, une comtesse. La comtesse se fait arrêter sur les ordres du camarade Drakov sans pour autant connaître le motif de l'arrestation. Duncan part aussitôt chez Drakov afin d'avoir des explications et découvre que ce dernier est un Immortel.
Duncan demande à Drakov de libérer son ami et sa famille, mais il refuse. Il lui montre même ses amis prendre la direction de peloton d'exécution. Duncan prend alors son épée et la place sous la gorge de Drakov. Si ses amis meurent, il mourra également.
Drakov passe alors un marcher avec Duncan. En échange de la vie de la famille Abernova, Duncan jure de ne pas combattre Drakov jusqu'à ce qu'il ne reste qu'eux deux. Duncan accepte ce marcher.
Alexandra et sa famille sont donc épargnés, mais ils sont dépossédés de leurs biens et doivent partir en exile. Duncan, dans un dernier baiser d'adieux, confie discrètement une bourse remplie de pierres précieuses dérobées dans le bureau de Drakov lorsqu'ils discutaient.
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